Research involving transgender and gender diverse people (TGD) increased in the last years, mostly concerning healthcare associated to this population. Few studies dedicated their analysis to the impact of parental support on transgender people, even though this is an important aspect in creating a safe environment on which these individuals can build their identity. In addition, the link between family support, TGD identity and homelessness is not completely established. Thus, due to the specificities of the family context of TGD individuals, (...) the aim of this study is to investigate the association between family support and TGD in different moments of the process of gender affirmation. In addition, this study also aims to explore the relationship between a lack of social support and low self-esteem, home abandonment, and dwelling in the street. The survey was designed based on the TransPULSE project and was made available in electronic format. The sample was constituted of 423 TGD residents in two Brazilian states. A Structural Equation Model analysis suggested that the impact of gender affirmation status on homelessness was mediated by parental support, through self-esteem, and the need to move from home. The association between the status of the gender affirmation procedures, family support and self-esteem was significant and indicated that the further TGD individuals advanced in gender affirmation, the more self-esteem and family support they would have. The association between family support and self-esteem indicated that family support was associated with higher self-esteem. Low family support was associated with the willingness to move from home due to one’s TGD status and there was also a significant correlation between low self-esteem and the willingness to move from home due to one’s TGD status. Finally, homelessness was associated with the willingness to move with a large effect size. Limitations include the sample that was constituted by individuals with Internet access and who had more contact with TGD communities. The findings indicate directions for interventions involving TGD people and their families, considering the parental relationship as a critical variable to improve TGD quality of life in the process of gender affirmation. (shrink)

Les neuf ouvrages de cette chronique ont été répartis en quatre groupes. Le premier réunit deux livres qui relèvent, en grande partie du moins, de la christologie philosophique. Le second regroupe deux études qui se penchent sur la christologie thomiste. Le troisième recense un ouvrage de M. Fédou sur la christologie qui s’est élaborée en Asie depuis les années 60. Le quatrième rend compte de la réédition de l’esquisse classique de W. Pannenberg et présente deux essais récents: l’un sur l’incarnation (...) et l’autre sur la résurrection. (shrink)

Grace a son interrogation incomparablement tenace et incisive sur le sens de l'etre, la pensee heideggerienne accede a une comprehension du sacre qui semble irreductible a tout autre, et qui, par son originalite et sa profondeur, compte parmi les plus significatives elaborees a notre epoque. Le present ouvrage etudie le rapport complexe entre cette notion du sacre et les eclaircissements heideggeriens sur le divin et la mediation poetique. Il s'articule en quatre parties, dont la premiere expose la genese de l'interpretation (...) heideggerienne du sacre. La deuxieme partie propose une etude thematique du nouveau lexique que Heidegger, au contact notamment de la poesie de Holderlin, introduit dans sa meditation du sacre. La troisieme partie entreprend une serie de discernements critiques, en se laissant instruire par les principaux travaux qui ont examine explicitement la comprehension heideggerienne du sacre, du divin, et du poete. Dans une perspective synthetique, la quatrieme partie, enfin, s'efforce de ressaisir l'approche de Heidegger par le biais de ce qui la deborde, en la faisant dialoguer avec d'autres pensees philosophiques et theologiques marquantes; ce qui conduit a considerer, entre autres, la difference du sacre et du Saint. Degage a partir des developpements diachroniques de la premiere partie, le triptyque du sacre, du divin, et du poete structure aussi bien les synchronisations thematiques de la deuxieme partie que les discernements critiques fournis par la troisieme, et il est assume, tout en etant "depasse", par les chapitres systematiques de la derniere partie. (shrink)

This study aimed to synthesize literature data on male judo combat time in international competitions between 2010 and 2019. The search was carried out from May 8th to June 11th, 2021, in electronic databases using the following keywords: AND. After the selection process, 8 articles were included in the systematic review and 7 in the meta-analysis. These studies analyzed 2,562 international male judo combats over the years 2010 to 2019. We observed that the average male judo combat time changed after (...) each rule change. There was a significant difference between combats that ended up to the regular time and those that needed overtime. There were differences between 60kg and +100kg categories and the others in 2011-2012. However, no significant difference was found between the combat time by weight division after the 2017 rule changes, although there are still differences in relation to the end of the combats. There were significant changes in the male judo combat time with each rule change, and the data from the included studies point to a trend of homogeneity in the combat time spent between the weight divisions over the years, and an increase in the occurrence of Golden Score. More studies need to be carried out to identify the new temporal behaviors of athletes. (shrink)

Dans son Traité d’athéologie, M. Onfray, sans souci de rigueur, se contente de mélanger les poncifs les plus usés de la polémique antireligieuse. À la différence de celui de Nietzsche, son athéisme se rend la tâche trop facile, en ne prenant jamais l’adversaire au sérieux.

Le présent ouvrage comble une lacune. La recherche, en effet, n'avait jamais pris en vue de manière systématique et détaillée l'ensemble de la philosophie schellingienne dans son rapport à la théologie. (C'est d'autant plus surprenant si l'on se rappelle que la pensée de Schelling représente le dernier essai de grand style d'établir une médiation entre ces deux disciplines.) En pratiquant sur toute l'œuvre une coupe longitudinale - depuis les premiers écrits critiques sur le mal et le mythe, à travers la (...) spéculation théogonique des Ages du monde, jusqu'aux développements christologiques et ecclésiologiques de la dernière période - le livre retrace le devenir de la théologie de Schelling, s'intégrant dans sa pensée comme l'une de ses composantes. Cette méthode permet de mettre en évidence la façon dont le philosophe théologien s'est critiqué lui-même dans les diverses phases de sa longue carrière et a modifié ses positions initiales pour tenter d'échapper à la synthèse idéaliste de la foi et du savoir, sans parvenir toutefois à se dégager entièrement du schéma de l'identité. (shrink)

No texto começa-se por recordar a controvérsia em torno da existência da filosofia portuguesa que se sustenta consubstanciar-se na questão: "há ou não filosofias especificamente nacionais, a cada nação corresponde uma filosofia própria?". Para solucionar o problema, seria indispensável fixar de modo indiscutível as noções de filosofia e nação. Não se aceitando a intuição das essências, que daria de modo directo e imediato as referidas noções, e entendendo-se que conceitos verdadeiros só podem surgir fundados num sistema, tentou-se, apenas, formular definições (...) convencionais de filosofia e nação, para estabelecer relações inegáveis entre elas, o que poderia dar um contributo para a problemática das filosofias nacionais, na hipótese de tais definições serem exactas ou, pelo menos, terem encontrado defensores. Considerou-se filosofia uma concepção do mundo racional, e nação uma certa comunidade de homens ligados pela istória e, porventura, por uma linguagem própria. Se a cada nação correspondesse uma filosofia cair-se-ia no relativismo, que é insustentável. Se se perfilhasse o ponto de vista que a filosofia depende da linguagem, logo da nação, a resposta seria que a linguagem expressa o pensamento, não é o pensamento. Assevera-se que uma concepção racional do mundo é sempre universal e que uma certa comunidade é, a fortiori, particular. A relação entre filosofia e nação será pois a do universal com o particular. Não é lícito absorver a filosofia na nação, como se esta fosse o universal concreto, nem dissolver aquela num universal que, nessa altura, seria abstracto. O universal supera o particular, sem o destruir, estando numa relação dialéctica com ele. O universal é, assim, universalização do particular. Por consequência, a filosofia será nacional mas de um "nacional" que se saiba auto-ultrapassar. O momento nacional é somente um momento da filosofia, não a própria filosofia na sua universalidade. /// Le texte commence par rappeler la controverse autor de l'existence de la philosophie portugaise, dont on affirme qu'elle s'identifie avec la question "y a-t-il, ou non, des philosophies spécifiquement nationales? A chaque nation correspond une philosophie propre?". Pour apporter une solution à ce problème, il serait indispensable de fixer de façon indiscutable les notions de philosophies et de nation. Comme on n'accepte pas l'intuition des essences, qui fournirait de façon directe et immédiate les notions mentionnées et comme on pense que de vrais concepts ne peuveunt surgir que fondés en un système, on a seulement essayé de formuler des définitions conventionnelles de philosophie et de nation en vue d'établir des relations irrécusables entre elles, ce qui pourrait constituer un apport pour la problématique des philosophies nationales, dans l'hypothèse que de telles définitions sont exactes ou ont, pour le moins, rencontré des adeptes. On considère la philosophie comme une conception rationnelle du monde et la nation, une certainne communauté d'hommes liés par l'histoire et, en particulier, pour une langue propre. Si à chaque nation correspondait une philosophie, on tomberait dans le relativisme, ce qui est insoutenable. Si l'on partageait le point de vue d'après lequel la philosophie dépend du langage, par suite, de la nation, la réponse serait que le langage exprime la pensée, n'est pas la pensée. On assure qu'une conception rationnelle du monde est toujours universelle et qu'une communauté donnée est particulière. La relation entre philosophie et nation sera donc celle qui existe entre l'universel et le particulier. Il n'est pas licite d'absorber la philosophie dans la nation, comme si celle-ci était l'universel concret, ni dissoudre celle-là dans un universel qui alors serait abstrait. /// Is there or is there not a specifically national philosophy? To each nation is there a corresponding philosophy? To answer these questions, which are certainly pertinent to the controversy concerning the existence of a Portuguese philosophy, one should state clearly what can be meant by philosophy and nation. By eliminating the approach by which one imagines it possible to have immediate and direct intuitions of these notions and by considering that true concepts are those that can be founded within a system, an attempt has been made here to formulate conventional definitions of philosophy and of nation in the hope that these definitions could be conjugated and made more precise. The idea that there be at the same time a rational world and a particular rationality, belonging to a particular community of men bound together by a common history and language, has been judged illusory. If to every nation there were a corresponding philosophy, an unbearable relativism would prevail. If one were to maintain that philosophy depended on language, and thus a nation, then the response would be that while language expresses thought, language is not thought. It is not legitimate to assimilate philosophy to a nation, as if the latter were a concrete universal; in this sense, it would be simply abstract. The universal overcomes the particular without destroying it, for the relationship is dialectical in nature: the universal is thus the universalization of the particular. Therefore, philosophy in national if one considers national as that which is capable of overcoming itself; the national moment is only a moment of philosophy, and not philosophy as such in its universality. (shrink)

En se centrant sur la façon dont l’ouvrage que Blondel a consacré à l’Esprit chrétien articule le rapport de la philosophie et du christianisme, le présent article s’efforce d’expliciter les traits «classique» de la méthode employée, tout en reconnaissant les limites de sa mise en œuvre.

La « philosophie chrétienne » a-t-elle encore un avenir, ou connaît-elle aujourd’hui sa fin ? Le présent article cherche à répondre de manière nuancée à cette question, après avoir évoqué la naissance du problème et le contexte culturel, rappelé l’essentiel de la fameuse querelle des années 1930, et examiné plusieurs tentatives ultérieures d’articuler la rencontre de la philosophie autonome et de l’expérience chrétienne.

A experiência hebraica da transcendência é radicalmente diferente do conhecimento, experiência originária para os gregos. Recorrendo a uma exposição sintética do pensamento de Levinas, pretende-se com este texto mostrar que é possível sair da ontologia, pensamento essencialmente grego, e mostrar que o sentido nela originado pode ser superado por um outro cuja origem está para lá do ser. /// L'expérience hebraïque de la transcendance est radicalement différente de la connaissance, expérience originaire pour les Grecs. En recourrant à un exposé synthétique (...) de la pensée de Lévinas, on prétend, par ce texte, montrer qu'il est possible de sortir de l'ontologie, pensée essentiellement grecque, et que le sens qui s'origine en elle peut être dépassé par un autre dont Torigine se trouve par-delà l'être. /// The hebraic experience of transcendence is radically different from knowledge, which is a fundamental experience for the Greek. On the basis of a synthetic explanation of Levinas' thought, this paper puts forward the view that is possible to move away from ontology, an essentially greek way of thinking, stressing that its category of "meaning" can be replaced with advantage by another one whose origin is beyond being, "meaning" can ontology. (shrink)

Peu de temps après la publication de ses Discours sur la religion, et dans le contexte de sa discussion avec les systèmes de Fichte et de Schelling, Schleiermacher a pris conscience de la nécessité d'élaborer une «doctrine de la science», ayant pour tâche de thématiser la connexion des sciences et dé dégager la connaissance métaphysique suprême. Sous le nom de «Dialectique», notre auteur a présenté à plusieurs reprises cette science idéale, sous-jacente aux parties réelles du système philosophique — aux sciences (...) qui ont pour domaine l'effectivité finie — et ayant pour mission de fonder l'unité de la physique et de l'éthique, les deux sciences réelles suprêmes. Le but du présent article est d'offrir une vue déensemble de cet ouvrage, encore peu connu du public francophone. Une premiére section situe le projet de Schleiermacher par rapport aux “triumvirs de l'Idéalisme allemand”. Les deux sections suivantes présentent la partie «transcendantale» de la Dialektik, centrée sur la question métaphysique du fondement du savoir, de la possibilité d'une conformité entre la pensée et l'être. Une dernière section traite, plus sommairement, de la partie “technique” de l'ouvrage, axée sur le problème logique de la connexion et de la cohérence des divers domaines du savoir. (shrink)

Le présent article considère l’apport, mais aussi certaines limites, des développements dans lesquels B. Welte s’efforce d’élaborer la différence phénoménologique entre l’Absolu philosophique et Dieu, et de montrer que le Mystère infini se présente comme Dieu en prenant figure dans des événements de révélation.

La conception fichtéenne de l’Université n’accueille que les parties exégétique et historique de la théologie, et en exclut tout le reste, soit en le renvoyant dans un autre établissement, soit en l’éliminant purement et simplement. En supprimant ainsi l’unité et la méthode herméneutique de la théologie, Fichte ne rapporte cette discipline à la forme philosophique que comme simple « matière ».

La decouverte de plus en plus profonde de la signification du christianisme a transforme la pensee de Fichte. Reciproquement, Fichte s'engage dans la voie d'une transformation du christianisme, au sens d'une metamorphose de la croyance en vision; il saisit la foi comme un stade imparfait de la science et souligne que seule cette derniere est a meme de supprimer l'exteriorite de l'Absolu. Le present ouvrage allie les points de vue genetique et systematique. De ses cinq parties, les quatre premieres exposent, (...) en suivant l'ordre chronologique, l'evolution de la theorie fichteenne du christianisme, depuis les textes prekantiens jusqu'a la Doctrine de l'Etat de 1813. La longue cinquieme partie, structuree thematiquement plutot que chronologiquement, est reservee non seulement a la reprise synthetique, mais aussi a la confrontation critique. Elle examine les differents aspects de la conception fichteenne du christianisme, notamment sa position a l'egard du Nouveau Testament, de la dogmatique, de la morale et de la mystique chretiennes. (shrink)

Le présent article étudie les vues de Fichte sur la filiation divine de Jésus, sa conscience, ses miracles, et son identification avec le Christ. Bien qu’elle reconnaisse que Jésus a eu conscience d’être Fils de Dieu, l’approche fichtéenne esquive l’Incarnation comme telle et se réduit ainsi à une simple jésuslogie. Tout en admettant que le Christ est devenu réalité historique en Jésus, et que le rôle de Jésus – le vrai et grand miracle – demeure unique du point de vue (...) historique, elle estime que le dogme christologique a eu tort de rendre métaphysique l’historique. (shrink)

In lieu of an abstract, here is a brief excerpt of the content:706 BOOK REVIEWS struments of redemption for others. Mary is the primary exemplar of receiving her Son's redeeming love in freedom and of wholeheartedly mediating his graces to all he has redeemed. The final essay, "Mary and Modernity," is most timely for American Christians and ecumenists. It is a very worthwhile attempt to compare and contrast the secular triad of virtues, liberty, equality, and fraternity with the Christian triad (...) of theological virtues, faith, hope, and love, especially as they are exemplified in Mary. Although this approach perceives Mary more as a " sign of contradiction " to our secularistic culture, she will help us to avoid the extremes of confusing true freedom with licence, genuine equality with egalitarianism, and authentic fraternity with collectivism by helping inspire in us the really liberating values of her Son's Gospel. Everyone can benefit immensely from the intelligent reading of this book. Mt. St. Mary's Seminary Emmitsburg, Maryland FREDERICK M. JELLY, O.P. Dieu et l'etre d'apres Thomas d'Aquin et Hegel. By EMILIO BRITO. Paris: Presses Universitaires de France, 1991. Pp. 422. 245 francs. Sprung from premature fears of post-modernity or from an ignorant nostalgia for a monoform Catholicism which never existed, universal dismissals of " modernity " still appear occasionally in Catholic j ournals. They recall,the neo-scholastic te:xitbooks prior to Vatican II in whose pages the " moderni " (among whom were numbered not only "Kantiani" but "Hegeliani ") were dismissed by authors who, having read a few pages, were incapable of grasping the basic directions of philosophy from Herder to Heidegger. Emilio Brito, S.J., however, follows in the line of the French and German Jesuits: through this century they have sustained a varied dialogue, in philosophy and theology, between Thomas Aquinas and the important figures of modern philosophy. His two works on Hegel's Christology, and a third large study of God and creation in Schelling are now followed by this comparative work. The theology of Aquinas and the philosophy of Hegel are like two galaxies. Do they move past each other at a distance, or do they move through each other guarding a proper identity with similar forces and shared motifs? Brito has chosen one theme within these two vast realms of thought: his topic (and the book's title can mislead) is God; 'being' BOOK REVIEWS 707 is present as a stimulus to our reflection about God. After an introduction on recent interpretations of Hegel, particularly by Catholics, pages which should be read by all interested in contemporary theology, there are three sections: " the knowledge and naming of God," " the divine substance and the cycle of its attributes," and " the operations of absolute spirit." The chapters in each of the three areas present Aquinas's and then Hegel's thought, and sometimes a section of further comparison. At the end of the work Brito offers a conclusion ("God's Goodness") and a postlude ("God's Beauty"). Finally there is a "Resume." According to Brito, Aquinas's thought is clear (his Aristotelian logic is readily understandable), and his emphasis lies with the divine transcendence. Despite the process-format of the Summa theologiae and the traces of history in the headship of Christ, the diversity of sacraments, and the theologies of faith and natural law, his modest description of movement in God and in God's world of beings stands in contrast to the unleashed and unresolved development penetrating Hegel's Geist. The concluding " Resume " of nine pages is particularly valuable as it brings together the author's synthetic insights into Aquinas and Hegel (one might hope that at least it would appear in translation). The following excerpt displays its balance and clarity. The God of the Summa tends to stay back from mediation, letting itself exist in a certain exteriority, while the Hegelian absolute " raises out" the determinations it posits only by also absorbing them negatively. In the same vein, the Hegelian parousia of the negative abolishes absolutely the distance maintained by the inexpressible in language. In an opposite direction, the originating positivity of the God of Thomas grounds the irreducible presence of a reality represented in discourse. If he is a stranger to this approach and more... (shrink)